Les ouvriers
Les bâtiments s’élevaient fièrement, c’était nos grattes-ciel à nous ! (suite…)
Les bâtiments s’élevaient fièrement, c’était nos grattes-ciel à nous ! (suite…)
Aujourd’hui sur tous les nouveaux panneaux de signalisation, c’est un bonhomme stylisé sans âme, ni homme, ni femme. A cette époque, on voyait nettement le béret et les manches retroussées. Salut Dédé ! Cela donnait envie de se faire la conversation… (suite…)
Des briques, toujours, et de la déco, des « agrafes » de fer pour consolider les murs : c’est du solide ! (suite…)
C'est pour les pauvres ! mais non, c'est les dames patronnesses ! Moi mon père il est de gauche on n'a pas le droit d'aller là ! (suite…)
La sirène de l'usine ponctuait la journée : c'est l'heure, on va être en retard ! (suite…)
À l’école, si on écrit comme ça, on se fait punir, mais sur le bâtiment EDF c’est très moderne. (suite…)
Les ouvriers se construisaient de petites maisons sur les chantiers, on aurait voulu y habiter... (suite…)
On était fiers d’être ouvriers. (suite…)
Tous les copains, parents de gauche ou de droite, on se retrouvait à la colo pour les chahuts ! (suite…)